Lettre #3 | novembre 2020 | ||||
édito |
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Retour d'expérience |
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Avancées techniques et difficultés rencontrées pour l’évaluation quantitative du SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin
Caroline SANDNER – IIBSN Institution Interdépartementale du Bassin de la Sèvre Niortaise
Tour d’horizon des avancées techniques et des difficultés rencontrées lors de la mise en œuvre d’une étude « Hydrologie, Milieux, Usages, Climat » (HMUC), prescrites par le SDAGE Loire Bretagne, dans le cadre de la révision du chapitre « gestion quantitative » du SAGE Sèvre Niortaise Marais Poitevin, dont l’animation est assurée par l’Institution Interdépartementale du Bassin de la Sèvre Niortaise. |
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Connaissance |
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Nappe de la Crau (Bouches-du-Rhône) – Analyse prospective pour une stratégie de gestion de l’eau d’ici 2050
Antoine BAILLIEUX – SYMCRAU Syndicat mixte de gestion de la nappe de la Crau
Le territoire de la nappe de la Crau se dote d’un cadre quantitatif pour élaborer une stratégie de gestion de l’eau d’ici 2050, organisant une plus grande résilience territoriale face aux changements climatiques. L’étude SINERGI approche les évolutions climatiques et socio-économiques prévisibles, leurs impacts sur la ressource disponible et les besoins en eau, ainsi que les mesures d’adaptation opérationnelles à mettre en œuvre. Cet article présente le contexte, l’approche méthodologique et les résultats de cette étude. |
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Technique |
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Une infrastructure de télésurveillance hydrologique en temps réel pour les zones isoléesThéo BAILLY-MAITRE, PROMAN
Sébastien MORILHAT, CEA Cadarache Frédéric REY, CEA Cadarache
Le site CEA de Cadarache (13) dispose d’un réseau de surveillance piézométrique, météorologique et hydrologique conséquent, regroupant près de 250 capteurs autonomes déployés sur 1 600 ha. Aujourd'hui, le Laboratoire de Modélisation des Transferts dans l’Environnent (LMTE), responsable d’une partie de ces équipements, souhaite radio-transmettre en temps réel les données issues de ce réseau afin de créer une plateforme de télésurveillance hydrologique. De ce besoin est né le projet Constell’Eau.
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Connaissance |
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Les ressources en eau souterraine du Cantal sous surveillance
Emilie SOLIGNAC, Conseil départemental du Cantal
Le Cantal compte près de 1 100 points de prélèvement pour l’alimentation en eau potable publique. L’eau provient de multiples aquifères, généralement de faible capacité. Afin de mieux comprendre leurs fonctionnements, le Conseil départemental a créé un réseau de suivi des eaux souterraines.
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Retour d'expérience |
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Charente Maritime - Vers de nouveaux indicateurs quantitatifs de la gestion des eaux souterraines sur le bassin du CuréYoann LE ROY, Établissement Public du Marais PoitevinDu 29 juin au 1er juillet 2020, deux piézomètres ont été réalisés dans la nappe du Jurassique supérieur du Nord Aunis sur le bassin du Curé. Ils ont été forés afin de disposer d’indicateurs de suivi des eaux souterraines plus pertinents sur ce bassin, besoin exprimé par les acteurs locaux ainsi que par les documents de planification du territoire, le SDAGE Loire-Bretagne et le SAGE Sèvre Niortaise Marais poitevin. Ces piézomètres devraient être plus représentatifs de la fluctuation de la nappe en aval du bassin versant, à proximité de la zone humide du Marais poitevin. |
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Retour d'expérience |
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Occitanie - La gestion des eaux souterraines au sein du Parc naturel régional des grands Causses
Laurent DANNEVILLE et Christophe APOLIT, Parc naturel régional des grands Causses
Grâce à son réseau de mesures, le Parc améliore depuis une vingtaine d’années la connaissance de sa ressource en eau pour mieux la gérer, étudie le fonctionnement et la structure des aquifères karstiques présents sur son territoire et commence à surveiller l’impact du changement climatique sur les réserves karstiques. |
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Connaissance |
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Bassin Loire Bretagne - Gestion quantitative de la nappe du cénomanien
Damien GABION, David RATHEAU, Charles VIYER - Agence de l’eau Loire-Bretagne
La nappe du Cénomanien couvre 25 000 km² dans le bassin Loire-Bretagne dont la majeure partie est captive et réservée à l’Alimentation en Eau Potable. Elle est exploitée à raison d’environ 85 millions de m3 par an dont 50 pour l’eau potable. Son exploitation localement trop intensive a conduit à une baisse inexorable du niveau de la nappe observée sur 25 piézomètres (depuis les années 70 pour certains), notamment dans la région tourangelle, la vallée du Cher et en Sarthe. L’agence de l’eau Loire-Bretagne s’est engagée dans un projet de reconquête du bon état quantitatif de cette nappe en s’appuyant sur un comité de gestion composé d’élus, d’usagers et des services de l’Etat. |
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Actualité |
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Les Deux-Sèvres - Traçage hydrogéologique pour la protection champ captant de Saint-MaxireLe Syndicat des Eaux du Centre-Ouest (SECO) a procédé à un traçage des eaux de la Sèvre Niortaise, pour mieux comprendre son influence sur les eaux du champ captant alimentant la commune de Saint-Maxire. Explications en vidéo par Nicolas MOREAU, chargé de protection de la ressource, et Hélène Geairon, Ingénieure Hydrogéologue CPGF Horizon. |
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